Plan de vol
Vol de jour en classe économique entre Strasbourg (SXB) et Marseille (MRS), opéré par Air France Hop en Bombardier CRJ-1000.
Itinéraire
Aujourd’hui, je vous retrouve pour le retour du vol vers Strasbourg que je vous ai présenté précédemment. Le vol a été effectué en septembre, avant le deuxième confinement. Contrairement à l’aller, ce ne sera pas un vol direct mais un vol avec une escale à Marseille avant de pouvoir rejoindre Toulouse.
L’itinéraire est le suivant :
Aéroport de Strasbourg
Avec la mise en place du sens unique à cause de la situation sanitaire, il n’est plus possible d’entrer par la coursive qui relie l’aéroport à la gare. L’entrée s’effectue uniquement par l’entrée principale en face du dépose minute.
A l’intérieur, je m’enregistre auprès du comptoir prioritaire d’Air France, il n’y a pas d’attente et le service est bien. Puis, je passe le contrôle de sûreté où il n’y a qu’une dizaine de minutes d’attente et je me retrouve rapidement face au tarmac.
Embarquement
L’embarquement s’effectuera dans quelques minutes à la porte n°23 qui se trouve à l’étage.
Puis, l’embarquement est annoncé. Les passagers prioritaires sont appelés sans oublier les membres SkyTeam Elite.
L’embarquement se poursuit à pied sur le tarmac où nous attend notre Bombardier CRJ-1000.
Le vol Strasbourg – Marseille avec Air France Hop
Découverte de la cabine
Le siège de ce Bombardier CRJ-1000 est bien plus confortable que celui du CRJ-700 que j’ai découvert il y a quelques jours. De plus, l’espace pour les jambes est excellent grâce à l’issue de secours.
La vue depuis le hublot est bien, l’aile ne cache pas trop la vue, ce qui est un bon point.
Nous commençons à rouler à 16h10, pile à l’heure donc.
Le vol
Nous décollons de l’aéroport de Strasbourg à 16h14, après un roulage court.
Après une vingtaine de minutes de vol, nous survolons le Lac Léman.
Le service à bord est proposé à mi-parcours. Le choix de boissons est réduit, néanmoins il y a toujours le classique jus de tomate. Par contre, il n’y a rien à grignoter, dommage !
Pendant l’approche, nous survolons la base aérienne de Salon-De-Provence puis la ville de Berre-l’Étang ainsi que l’étang de Berre.
Nous atterrissons à l’aéroport de Marseille à 17h18, l’atterrissage est assez rude à cause d’un freinage saccadé et hésitant.
Ici, le roulage est à peine plus long qu’à Strasbourg. Nous nous garons à côté de cet ATR d’Air Corsica.
Aéroport de Marseille
Le bus qui nous ramènera à l’aéroport nous attend déjà au pied de l’avion tandis que le débarquement s’effectue rangée par rangée.
Je fais un dernier coucou à l’avion qui nous a emmené jusqu’ici, le Bombardier CRJ-1000 que j’aime tant. Pour mon prochain vol en correspondance, je prendrais son petit frère le CRJ-700 qui est bien moins confortable.
Le trajet en bus jusqu’à l’aérogare est l’occasion de faire un petit tour de piste.
Finalement, le bus nous dépose au pied de l’aéroport de Marseille. Comme j’ai une correspondance, j’emprunte le parcours pour les correspondances, ce qui m’évite de passer à nouveau le contrôle de sûreté.
Avis sur le vol
Air France | Strasbourg (SXB) | Marseille (MRS) |
---|---|---|
Confort : 10 | Accès : 5 | Accès : 7 |
Restauration : 7 | Enregistrement : 9 | Livraison : 4 |
Équipage : 8 | Efficacité : 7 | Efficacité : 10 |
Services : 8 | Services : 7 | Services : 7 |
Moyenne : 8,25 | Moyenne : 7,00 | Moyenne : 7,00 |
Conclusion
Les plus :
- Voyager avec Air France sur un vol domestique
- Correspondance facilitée à Marseille
- Confort du Bombardier CRJ-1000
- Service à bord maintenu
- Offre de presse numérique
Les moins :
- Accès de l’aéroport de Strasbourg compliqué à cause de la fréquence réduite des trains (1 toutes les 2 heures environ, à cause de la crise sanitaire)
- Valise endommagée à l’arrivée
- Rien à grignoter à bord
- Pas de presse papier