Toulouse – Paris CDG en Business avec Air France

Aéroport Toulouse-Blagnac

J’arrive de bonne heure à l’aéroport de Toulouse, tandis qu’il fait encore nuit en ce mois de décembre.

Enregistrement

Aujourd’hui, il y a beaucoup de monde à l’enregistrement. Fort heureusement pour moi, la file prioritaire me permet d’éviter d’attendre à l’enregistrement.

Zone d’embarquement

Puis, je me dirige vers la zone d’embarquement.

J’effectue un arrêt au Duty Free pour faire quelques achats avant mon séjour au Maroc. La dernière bouteille de Campari semblait m’attendre.

La plupart des magasins dans la zone d’embarquement sont fermés.

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Malheureusement le salon est également également, c’est assez surprenant puisque je ne m’y attendais pas. Je regrette de n’avoir été prévenu par Air France de cette fermeture, ni même au comptoir.

Pas grand chose à se mettre sous la dent ici, si ce n’est ce Bombardier CRJ-700, loin de son hall A habituel.

Embarquement

Aujourd’hui, nous embarquerons en porte 51 au hall D puisque le hall B où les vols d’Air France embarquent habituellement est temporairement fermé.

A défaut de pouvoir aller au salon, je profite d’un muffin acheté au Prêt à Manger en attendant que l’embarquement commence.

L’embarquement commence à l’heure, et les passagers prioritaires sont appelés en premier.

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Vol Toulouse – Paris CDG avec Air France en Business

Cabine

Départ

Après avoir été rejoint par un Airbus A320 arrivant d’Orly, nous quittons notre stationnement avec 10 petites minutes de retard.

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Puis, nous décollons de Toulouse sous une superbe lumière, ce qui me permet notamment de prendre une belle photo du centre de livraison d’Airbus où les avions attendent leur futur propriétaire.

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Le vol

Puis, nous continuons notre montée vers l’altitude de croisière.

Service à bord

Le service à bord se limite à un verre d’eau en raison du contexte sanitaire.

Arrivée

Tout se passe jusqu’à ce que nous tentions d’atterrir à CDG.

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Quelques instants avant l’atterrissage, le bruit des moteurs s’intensifie et la poussée se fait ressentir. Je me rends compte alors que nous n’allons pas atterrir. Pendant que nous nous éloignons de la piste, le silence s’installe dans la cabine.

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Après une attente qui paraissait interminable, le pilote prend la parole et nous explique que nous n’avons pas pu atterrir puisque l’appareil qui nous précédait a mis trop de temps pour libérer la piste.

Nous faisons donc un tour de piste pour retenter un atterrissage.

La deuxième approche est la bonne puisque nous atterrissons sans encombres à CDG.

Aéroport de Paris-Roissy CDG

Après quoi, nous pouvons enfin rouler vers la porte de débarquement.

Pendant le roulage, nous croisons le Concorde de Roissy.

Puis, nous venons stationner au terminal 2F à côté de cet Airbus A319 d’Air France.