Plan de vol

Vol de jour en classe économique entre Toulouse (TLS) et Strasbourg (SXB), opéré par Air France Hop en Bombardier CRJ-700.

Avant-propos

Aujourd’hui, je vous retrouve pour un vol domestique entre Toulouse et Strasbourg opéré par Air France Hop qui a été effectué au mois de septembre, avant le deuxième confinement. Le retour sera un peu différent avec une escale à Marseille.

L’itinéraire est le suivant :

Aéroport Toulouse Blagnac

J’arrive en voiture à l’aéroport de Toulouse au niveau du dépose-minute et je file à l’enregistrement pour y déposer ma valise.

Après avoir déposé la valise et déplacé la voiture vers un autre parking, je reviens dans l’aérogare et me dirige vers la zone d’embarquement qui se trouve à l’extrémité du hall D.

Accès à la zone d'embarquement au hall D
Accès à la zone d’embarquement au hall D

L’aéroport de Toulouse a fait le choix d’afficher les vols annulés sur le tableau des départs.

Je trouve que c’est un choix discutable en terme de lisibilité, mais qui n’est pas sans rappeler la triste période que nous traversons en ce moment.

Tableau des départs
Tableau des départs

Après avoir traversé le Duty Free, je me retrouve dans la zone d’embarquement où l’activité n’a que très partiellement repris ici contrairement à d’autres aéroports. La plupart des magasins et restaurants sont encore fermés.

Avant de prendre mon vol, j’en profite pour prendre un muffin et un thé glacé au Prêt à Manger.

Muffin & thé glacé au Prêt à Manger
Muffin & thé glacé au Prêt à Manger

Le vol Toulouse – Strasbourg avec Air France Hop

Embarquement

Aujourd’hui, l’embarquement s’effectuera en porte 30 d’ici quelques minutes, bien qu’il y ait un hall dédié aux embarquements à pied – le hall A, c’est bien au hall C que nous allons embarquer car les halls A et B sont fermés.

Porte d'embarquement n°30 à Toulouse
Porte d’embarquement n°30

Puis, l’embarquement est annoncé et les passagers prioritaires sont appelés à embarquer en premier.

Et voici l’appareil du jour, un Bombardier CRJ-700. Pour ma part ce sera une première, bien que j’aime beaucoup le CRJ-1000, c’est la première fois que je monte à bord de ce modèle-ci.

Bombardier CRJ-700 immatriculé F-GRZE
Bombardier CRJ-700 immatriculé F-GRZE

L’embarquement s’effectue grâce à l’escalier intégré à l’appareil.

Embarquement par l'escalier intégré à l'avion
Embarquement

Je découvre la cabine qui semble plutôt agréable à première vue.

Cabine du Bombardier CRJ-700
Cabine du Bombardier CRJ-700

Les sièges ne sont pas particulièrement confortables et là où ça se corse c’est au niveau du pas où ça touche carrément. Sans rajouter que je n’ai pas eu de chance avec le hublot qui n’est pas bien aligné à la rangée 16.

Je comprends maintenant pourquoi cette cabine décrié des passagers réguliers, alors que celle du CRJ-1000 est pourtant très apprécié.

L’embarquement est terminé en une dizaine de minutes seulement, il faut dire aussi qu’il n’y a pas beaucoup de passagers, le remplissage doit être de 60% tout au plus.

Embarquement terminé
Embarquement terminé

Le vol

Nous sommes repoussés à 10h22, à l’heure donc, et nous entamons le roulage qui sera d’autant plus rapide en l’absence de trafic.

Le décollage de Toulouse est également l’occasion de voir les travaux de rénovation de l’autre piste qui se termineront en octobre (en savoir plus).

Puis, quelques instants après le décollage le service à bord est proposé. A l’époque, il y avait un choix de boisson limité et c’est tout, rien à grignoter. Je me souviens plus ce que j’ai pris, un jus d’orange certainement.

Service à bord
Service à bord

Après quoi, il ne se passe pas grand chose à bord, le vol se déroule bien et nous commençons notre descente vers l’aéroport de Strasbourg.

Nous atterrissons à Strasbourg à 11h34, avec presque 20 minutes d’avance. Comme à Toulouse, le roulage n’est pas bien long, il faut dire aussi le tarmac est désert.

Le débarquement s’effectue rangée par rangée comme demandé par l’équipage. La compagnie s’en sort plutôt bien sur ce point alors que beaucoup ont du mal à gérer les mesures sanitaires pendant le débarquement.

Débarquement
Débarquement

Aéroport de Strasbourg

Le débarquement se poursuite à pied, l’occasion de prendre une dernière photo de l’avion qui nous a emmené jusqu’ici.

Notre Bombardier CRJ-700 à Strasbourg
L’avion qui nous a emmené jusqu’ici

La faible activité liée à la crise sanitaire est d’autant plus marquée à l’aéroport de Strasbourg qu’à part notre avion et un Beechcraft 1900, le tarmac est désert.

Tarmac à l'aéroport de Strasbourg
Tarmac à l’aéroport de Strasbourg

Enfin, je récupère mon bagage qui sera livré assez rapidement et je me dirige vers la sortie de l’aéroport.

Aéroport de Strasbourg
Sortie de l’aéroport Strasbourg

Avis sur le vol

Air France Toulouse (TLS) Strasbourg (SXB)
Confort : 3 Accès : 9 Accès : 5
Restauration : 6 Enregistrement : 8 Livraison : 8
Équipage : 8 Efficacité : 8 Efficacité : 9
Services : 8 Services : 9 Services : 7
Moyenne : 6,25 Moyenne : 8,50 Moyenne : 7,25

Conclusion

Un vol Toulouse – Strasbourg direct bien pratique avec Air France Hop malgré la cabine vraiment vétuste et peu confortable de ce Bombardier CRJ-700 alors que celle CRJ-1000 de la même compagnie offre un confort bien meilleur.

Les plus :

  • Voyager avec Air France sur un vol domestique
  • Le confort d’un jet pour un vol domestique
  • Retour partiel du service à bord
  • Enregistrement & embarquement prioritaire

Les moins :

  • La cabine peu confortable et étroite
  • Service à bord réduit pour raisons sanitaires
  • La fréquence des trains à l’aéroport de Strasbourg largement réduite

À propos de l'auteur

toulouseflyer

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Passionné d'aviation et de voyages, j'aime partager mes aventures sur ce blog !

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