Toulouse – Paris CDG en Business avec Air France

Avant-propos

Je vous retrouve pour une nouvelle série de vols à destination du Maroc effectués dans le cadre de mes études. Les tarifs en Business vers le Maroc sont très attractifs alors j’en ai profité, d’autant plus que la franchise bagage (3×32 kg avec une carte Flying Blue Silver) et le programme de fidélité sont très intéressants.

Initialement, le vol était prévu au début du mois de septembre et après avoir reporté de nombreuses fois mon départ et songé à renoncer à mon expatriation, je peux enfin partir fin octobre. Mention spéciale au service client d’Air France qui a permis toutes ces modifications.

L’itinéraire est le suivant :

• Toulouse – Paris CDG avec Air France en Airbus A320 en classe Affaires
• Paris CDG – Casablanca avec Air France en Airbus A321 en classe Affaires
• Rabat – Paris CDG avec Air France en Airbus A320 en classe Affaires
• Paris CDG – Montpellier avec Air France en Airbus A320 en classe Affaires

Paris CDG – Casablanca en Business avec Air France

Aéroport Toulouse-Blagnac

Après avoir passé la nuit à l’hôtel NH Toulouse Airport, je me dirige vers l’aéroport à 6 heures du matin afin de respecter le couvre-feu.

L’avantage de cet hôtel est qu’il est directement relié à l’aéroport, ce qui permet de gagner du temps et d’éviter de passer par l’extérieur surtout quand il fait froid.

Après avoir traversé le hall B, je traverse le hall C pour rejoindre les comptoirs d’enregistrement d’Air France au hall D.

Enregistrement

Au moment où j’arrive au comptoir SkyPriority, un des 2 comptoirs ferme mais je ne m’inquiète pas outre mesure puisqu’il n’y a qu’une famille devant moi. Sauf, qu’entre l’attente, la vérification des documents pour un voyage vers le Maroc et la prise en charge des bagages, cela m’a pris 30 minutes, pas très prioritaire tout ça !

Embarquement

Puis, je file immédiatement à la porte 21 où l’embarquement a déjà commencé. Pour ne rien arranger, les 2 portiques prioritaires pour le contrôle de sûreté sont hors service.

Au moment, ou je passe le Poste d’Inspection Filtrage (PIF), j’entends le dernier appel pour mon vol qui embarque à l’autre bout de l’aéroport, je commence à avoir peur de manquer le vol.

Puis, je passe devant le salon qui a rouvert au mois de septembre. Je regrette de ne pas pouvoir y aller aujourd’hui car j’avais envie de prendre un bon café avant de prendre l’avion.

Finalement, j’arrive à rejoindre la porte 21 juste à temps. Là encore, le parcours prioritaire est mis à mal par l’absence de file prioritaire à l’embarquement.

Vol Toulouse – Paris avec Air France

Découverte de la cabine Business domestique

Une fois à bord, je retrouve la cabine Business qu’Air France propose habituellement sur ses vols domestiques. Il s’agit des sièges de l’équipementier Recaro, similaires à ceux proposés en classe économique, toutefois le siège du milieu est neutralisé.

Le confort est un peu limité, cela étant elle n’est proposée que sur des vols courts comme c’est le cas aujourd’hui.

Départ

La fin de l’embarquement est retardée d’une quinzaine de minutes à cause d’un problème sur le nombre de passagers à bord. Les hôtesses traversent à plusieurs reprises la cabine et finissent par identifier le problème.

Enfin, la passerelle est retirée et nous pouvons quitter la porte d’embarquement.

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Puis, nous rejoignons la piste d’où décollons avec quelques minutes de retard, qui seront rattrapées en vol. Au début, nous pouvons voir la ville de Toulouse, mais rapidement la lumière s’estompe et fait place à l’obscurité de la nuit.

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Service à bord

Peu après le décollage, un service d’accueil consistant en une petite bouteille d’eau et une serviette rafraichissante est offert.

Puis, c’est au tour du véritable service. Avec la crise sanitaire, l’offre est un peu modifiée, ainsi le choix de boissons est largement réduit et le snack salé a disparu. Pour ce dernier, c’est tant mieux sur un vol matinal !

Arrivée à Paris-Roissy CDG

Il est temps maintenant d’entamer notre descente vers l’aéroport de Roissy.

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L’avion se pose et nous quittons rapidement la piste pour rejoindre le terminal 2F.

Avec la chute du trafic aérien, le temps de roulage est raccourci puisqu’en 7 minutes nous avons rejoint notre porte de débarquement au terminal 2F, un record pour moi !

A continuer…