Paris – Dubrovnik avec Air France

Avant-propos

Je vous retrouve pour conclure cette série de vol en Croatie avec le vol qui m’a emmené jusque là-bas à savoir un Paris – Dubrovnik avec Air France.

N’hésitez pas à découvrir ou à redécouvrir les autres récits de la série :

• Dubrovnik – Zagreb avec Croatia Airlines à bord d’un Airbus A319 en classe économique
• Zagreb – Split avec Croatia Airlines à bord d’un DHC-Q400 en classe économique
• Split – Amsterdam avec KLM Royal Dutch Airlines à bord d’un Boeing 737-800 en classe économique
• Amsterdam – Toulouse avec KLM Royal Dutch Airlines à bord d’un Boeing 737-800 en classe affaires

Aéroport de Paris Roissy-CDG

Je suis arrivé la veille depuis Toulouse avec Air France, puis j’ai passé la nuit à Paris et ma matinée au Bourget pour visiter le musée de l’Air et de l’Espace ! D’ailleurs, je publierais prochainement un article à ce sujet sur ce blog.

Arrivée à l’aéroport

Plutôt que de repartir vers le centre-ville du Bourget pour prendre le RER, c’est en bus que je rejoins l’aéroport grâce la ligne 350. Après 1 bonne heure de route, le bus me dépose à la gare du terminal 2F.

La Croatie ne faisant pas partie de l’espace Schengen, je me dirige vers le terminal 2E. L’accès y est désormais contrôlé à cause sanitaire : les accompagnants ne sont plus autorisés à rentrer dans le terminal.

Ayant enregistré mon bagage la veille à Toulouse, mon bagage a dormi à l’aéroport, je n’ai donc pas besoin de passer par l’enregistrement.

Contrôles

Je file directement aux contrôles, le premier étant le contrôle de police où il faut faire la queue car les sas PARAFE sont fermés. Etrangement, on m’a pas demandé d’enlever mon masque et je n’ai d’ailleurs vu personne le faire.

De l’autre côté, c’est plutôt calme pour un mois d’août. Il y a assez peu de passagers et pas beaucoup de vols non plus.

Pour le déjeuner, j’opte pour une salade poulet, pesto & avocat chez Prêt à Manger avec une boisson, le tout pour moins de 10€. J’ai trouvé ça bon et suffisamment copieux, je recommande.

Vol Paris – Dubrovnik avec Air France

Embarquement

L’embarquement est annoncé en porte K27, la porte étant au niveau du tarmac cela signifie que nous avons droit à un embarquement en bus.

J’en profite également pour obtenir une nouvelle carte d’embarquement car la précédente a été avalée par la machine à rayons-X quelques heures plus tôt !

Embarquement en bus

L’embarquement en bus est l’occasion de faire un tour de piste et de découvrir les appareils stationnés sur le tarmac de CDG !

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Le bus nous dépose au pied d’une passerelle dans une zone de l’aéroport que je ne connaissais pas. Après avoir grimpé les quelques marches, nous embarquons finalement par la passerelle.

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Cabine Smart & Beyond

A bord, la cabine est une Smart & Beyond, ce qui n’est pas vraiment une surprise car tous les Airbus A319 d’Air France en sont équipés. L’avantage de cette cabine c’est que les sièges sont plus confortables, les appuie-têtes sont ajustables, il y a des prises USB et la tablette est mieux aussi.

Et voici mon siège pour les 2 prochaines heures, le 23A en fond de cale. Le pas est un peu juste à l’arrière, sinon je n’ai rien à redire.

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L’avitaillement en carburant est toujours en cours.

Le vol

Roulage et décollage

Nous sommes repoussés à 15h20, pile à l’heure, s’en suit le roulage jusqu’à la piste où nous laissons un appareil décoller avant nous.

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Puis, nous décollons à 15h30.

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Peu après le décollage, nous pouvons apercevoir l’aéroport du Bourget où j’étais ce matin. Si vous regardez bien, au fond on peut apercevoir l’ancien Boeing 747 d’Air France.

Pour une fois, nous ne rentrons pas tout de suite dans la grisaille parisienne, alors je profite un peu de la vue sur la capitale.

Service à bord

L’unique service à bord commence après une demie heure de vol, nous avons le droit à un choix restreint de boissons et un snack salé imposé : des gaufrettes apéritives pavot & poivre. Habituellement, c’est l’offre proposée sur un vol domestique, et on peut s’interroger sur le choix d’Air France pour ce service à 16h sur un vol de 2h30 même dans le contexte actuel.

Puis, la fiche sanitaire pour est distribuée, elle permet d’être prévenu en cas de contamination sur ce vol.

Finalement, j’arrive à obtenir quelque chose de sucré en demandant à une hôtesse.

Il ne se passe pas grand chose d’autre à bord si ce n’est qu’un enfant infernal n’arrête pas de me donner des coups de pied dans le dos.

Approche de Dubrovnik

L’approche de Dubrovnik est réputée pour être l’une des plus belles que nous ayons en Europe, c’est une des raisons qui m’avait poussé à faire ce vol. En effet, nous pouvons voir la ville avec son ancienne cité mais aussi la côté dalmate et les montagnes en arrière-plan.

Mon conseil : si vous arrivez depuis le nord, privilégiez un siège à gauche de l’appareil car la ville se trouvera de ce côté que l’approche soit directe ou non.

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Ensuite, nous atterrissons à l’aéroport avec une vingtaine de minutes d’avance.

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Aéroport de Dubrovnik

Le roulage est rapide, il faut dire aussi que l’aéroport n’est pas bien grand et qu’il y a peu de trafic à cause de la crise sanitaire.

Nous nous garons aux côtés de cet autre Airbus A319 de Croatia Airlines portant la livrée Star Alliance, si vous souhaitez découvrir l’expérience à bord n’hésitez pas à lire ce récit de vol à destination de Zagreb !

Le débarquement s’effectue par une passerelle à l’avant. L’équipage demande à ce que le débarquement se fasse rangée par rangée, une consigne qui sera respectée.

Une fois dans l’aéroport, je file au contrôle des passeports. A l’époque, pour entrer en Croatie, il fallait remplir un formulaire en ligne avant le départ. Tout est relativement bien organisé, je n’ai pas eu besoin de montrer le reçu, c’était déjà dans leur système informatique. Et malgré le fait que je suis sorti parmi les derniers, je n’ai pas trop attendu.

Ma valise m’attendait sagement sur le tapis, il n’y a pas d’attente ici non plus.

Je quitte l’aéroport en taxi que j’avais réservé auprès de mon hébergement. La course le long de la cote sinueuse dalmate est magnifique également.